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Cours de méthodologie à Quito

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Français · Méthodologie
L'été est le moment idéal pour renforcer les bases en mathématiques et en français pour les enfants du primaire et du collège. Mes cours sur-mesure sont conçus pour aider les élèves à acquérir les compétences fondamentales et à exceller dans ces matières essentielles. Méthodologie : Mes cours utilisent une approche interactive et engageante. Les enfants participent à des activités ludiques, des jeux éducatifs, et des exercices pratiques qui rendent l'apprentissage amusant et motivant. En maths, je couvre les concepts clés comme l'algèbre, la géométrie, les fractions et la résolution de problèmes simples. En français, nous travaillons sur la compréhension de textes, la rédaction, et l'analyse littéraire. Adaptabilité : Chaque élève est unique, et mes cours s'adaptent à leurs besoins spécifiques. Je propose un suivi personnalisé pour identifier les points faibles et les renforcer, tout en consolidant les acquis. Les méthodes pédagogiques sont variées pour maintenir l'intérêt et l'engagement des élèves. Objectifs : L'objectif de mes cours est de permettre aux élèves de maîtriser les compétences essentielles en maths et en français, de développer leur confiance en eux, et de les préparer à la suite de leur parcours scolaire. Ils apprendront à lire, à écrire, à compter et à résoudre des problèmes de manière autonome. Pour les collégiens, il s'agit également de les préparer efficacement aux examens. Avantages : - Approche ludique et interactive - Renforcement des compétences de base en maths et en français - Suivi personnalisé pour chaque élève - Méthodes pédagogiques variées - Développement de la confiance en soi - Préparation efficace aux examens Profitez de l'été pour donner à votre enfant les clés de la réussite dès le primaire et pour exceller au collège. C'est le bon moment pour renforcer les bases et se préparer aux examens !
Maths · Français · Méthodologie
Guide de rédaction de rapport de Licence Anthropologie SOMMAIRE DEDICACE REMERCIEMENTS TABLE DES ILLUSTRATIONS SIGLES ET ABREVIATION RESUME INTRODUCTION GENERALE L’introduction doit comporter quatre petits points : Présenter le sujet de la recherche (dire pourquoi vous avez choisi votre sujet et dan quel contexte se place-t-il ?  Présenter l’intérêt de la recherche au niveau théorique, social, professionnel ;  Présenter la démarche et l’orientation méthodologique ;  Préciser la structuration de l’ensemble du document (annoncez le plan). Chapitre I : Cadre théorique de l’étude 1.1. Revue critique de littérature La revue critique de littérature permet au chercheur de se positionner ou de positionner sa recherche par rapport à ce qui été fait dans le même domaine. Dans la littérature, on trouve quasiment toujours plusieurs approches d’une même question. Quels sont les grands courants de pensée des auteurs principaux ? Pour cela des démarches s’imposent :  La lecture et la recherche documentaire (liens avec la question de départ, dimension raisonnable du projet de recherche, élément d’analyse et d’interprétation, grille de lecture, fiches de lecture.  Classement thématique de vos lectures ;  Critique et lien avec votre problème posé. 1.2.Définition des concepts de base Il s’agit de préciser le contenu des différents termes ou concepts utilisés dans l’élaboration du projet de recherche. La définition des concepts revient à :  Identifier les concepts clés à définir ;  Inventorier les définitions existantes (définitions usuelle, contextuelle, données par les auteurs ayant étudiés le phénomène, etc.) ;  Préciser le sens dans lequel tel ou tel concept est employé ;  Trouver les aspects facilement observables du phénomène social étudié (indicateurs) qui permettent la vérification de l’hypothèse. Ainsi, la définition des concepts aide à reconnaître les données en précisant ce qu’elles incluent et ce qu’elles excluent. 1.3. La problématique La problématique, c’est un regard sur la réalité qu’on veut appréhender et qui constitue l’objet de recherche. Elle part du constat à un ensemble de questions. Le chercheur doit définir le champ de connaissance dans lequel il traite le problème. Voici les questions qui se posent à ce niveau :  comment se manifeste le problème ?  Qui est concerné ?  Quelles sont les conséquences ?  Pourquoi résoudre ce problème ?  Quelle est donc la question à traiter ?  Pour découvrir quoi ?  Quels sont les enjeux cachés derrière cette question et comment y répondre ? Récapitulatif : la construction de la problématique est un exercice qui nécessite une question de recherche appelé question de départ. Il faut argumenter cette question de départ afin de la préciser à la fois par les faits que par la théorie. La question de départ dégage le problème central. Elle doit être précise, univoque et faisable. Le chercheur doit par la suite formuler des questions secondaires qui dégagent les problèmes spécifiques. Ces questions dites secondaires, en interférence les unes avec les autres, s’organisent autour du problème central (question de départ). Ainsi, la problématique d’une recherche est l’ensemble des questions afférentes à l’objet de recherche. 1.4. Objectifs de l’étude Les objectifs précisent les intentions du chercheur. Le chercheur doit montrer comment il entend contribuer à la solution du problème ou apporter une réponse à une interrogation. Il doit indiquer comment il entend dépasser les précédents projets de recherche. Ils comportent : - Un objectif général ; - Des objectifs spécifiques. L’objectif général donne les intentions du chercheur sur les solutions qu’il veut apporter au problème. Il est en étroite relation avec la question centrale. Les objectifs spécifiques indiquent comment on entend atteindre l’objectif principal. Ils sont en corrélation avec les questions secondaires. 1.5. Hypothèses de l’étude L’hypothèse peut être définie comme une réponse anticipée à la question que l’on se pose à propos de l’objet de la recherche, formulée en des termes tels que l’observation et l’analyse puisent fournir une réponse. Elle est une affirmation a priori du chercheur assorti des variables de vérification. En réalité, l’hypothèse se présente comme une réponse provisoire à la question de départ de la recherche. Les caractéristiques de l’hypothèse sont : - Plausible, vraisemblable (avoir un rapport avec le phénomène à étudier) ; - Vérifiable ; - Être précise ; - Être communicable (compris de la même manière par tous). NB : l’hypothèse principales doit en en corrélation avec l’objectifs principale. Les hypothèses secondaires sont constituées des propositions de réponse aux questions secondaires et doivent être en corrélation avec les Objections spécifiques 1.6. Identification des variables Une variable est une caractéristique ou un renseignement qui, dans une étude de recherche, prend différentes valeurs. Elle peut être :  Quantitative et mesurée numériquement, par exemple, âge, taille, poids, etc. ;  Qualitative et mesurée en termes de catégories par exemple, sexe, religion, ethnie, milieu d’origine, niveau d’instruction, situation socio-professionnelle, etc. Il existe deux types de variables :  La variable dépendante : elle est l’effet qui varie selon l’action de la variable indépendante. En d’autres termes, c’est une caractéristique dont les changements résultent du niveau ou de la qualité de la variable indépendante.  La variable indépendante : elle est la cause, le facteur explicatif, c’est-à-dire, celle dont on essaie de mesurer et de comprendre l’influence sur la variable dépendante. C’est une caractéristique qui, dans une étude, est manipulée ou traitée afin de voir quel effet les différences dans cette variable auront sur la variable proposée comme étant dépendante de celle-ci. Chapitre II : Approche méthodologie de l’étude Le choix judicieux de la méthode et de la stratégie de recherche permet au chercheur de collecter les données nécessaires à l’étude du problème, de la question, des objectifs et des hypothèses. 2.1. Zone de l’étude Le chercheur doit circonscrire clairement sa zone d’étude dans l’espace géographique et social (zone d’enquête à considérer). 2.3. Population de l’étude La population (ou univers) d’une enquête est l’ensemble de toutes les unités (individu, entreprise, association, commune, pays, région...) sur qui porte l’enquête. La population mère est dite aussi la population de référence et désigne l’ensemble des individus théoriquement concernés par les objectifs de l’étude. Quant à la population-cible elle est le groupe social concerné par l’étude. 2.4. Echantillonnage L’échantillonnage est l’ensemble des procédés visant à la sélection d’une fraction de la population telle qu’elle puisse être considérée comme représentative de la population totale. C’est donc une procédure par laquelle un petit nombre d’unité d’analyse sont sélectionnées dans le but de généraliser les résultats à la population-mère, appelée l’univers. On distingue deux groupes de techniques d’échantillonnage : les techniques probabilistes et les techniques non probabilistes. Dans le cas d’une recherche qualitative, les méthodes probabilistes et non probabilistes ne sont pas de rigueur. 2.5. Approche, outils et techniques de collecte des données Le chercheur constitue généralement plusieurs outils de collecte des informations pour la recherche. Ces outils sont des procédés qui donnent accès à l’information. En d’autres termes, ce sont des instruments capables de recueillir ou de produire l’information. 2.6. Traitement et analyse des données La collecte des données est suivie de leur dépouillement et de leur traitement qui peuvent se faire de manière manuelle ou de manière informatisée. Le dépouillement et le traitement manuel se font sur la base des fiches élaborées à cet effet. Pour les faire de manière informatisée, il faut codifier les réponses dès la conception des outils de collecte des données. 2.7. Difficultés rencontrées La réalisation d’une étude ne se fait pas sans difficultés liées à la période, la disponibilité des enquêtés, le refus de répondre aux questions, l’accueil avec méfiance. Chapitre III : Présentation des résultats et discussion 3.1. Présentation des résultats La présentation des résultats consiste à retenir les informations dont il a besoin pour élaborer son argumentaire. Il convient de noter toutefois qu’en faisant la synthèse des données, le chercheur encourt les risques d’en perdre. Dans ces conditions, il devra prendre les dispositions pour stocker les informations dont il n’a pas immédiatement besoin. Cette synthèse peut se faire par des tableaux, des graphiques. 3.2. Discussion et interprétation Il s’agit de deux données d’importance stratégique qui confèrent aux rapports leurs caractères scientifiques. Dans cette partie du traitement des données, le chercheur fait une analyse comparative de ses résultats avec ceux que les autres chercheurs ont obtenus sur le même thème ou des thèmes similaires de la recherche. Il doit de ce fait déterminer, entre autres :  Les similitudes et/ou les différences voire les divergences ;  Sa contribution à l’éclairage scientifique du sujet de la recherche menée ;  Les acquis et limites objectives des résultats obtenus ;  Les perspectives de la recherche. CONCLUSION GENERALE La conclusion est une sorte de synthèse de la recherche qui en fait ressortir les idées essentielles concernant les objectifs, les hypothèses et les résultats. Pour rédiger la conclusion, il faudrait :  Reprendre les grands axes du développement (résumer très brièvement les différentes parties du développement en disant ce que l’on peut en retenir en substance) ;  Montrer que les hypothèses ont été confirmées ou infirmées. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ANNEXES TABLE DES MATIERES
Méthodologie
La dissertation est un exercice fréquent tout au long de notre système éducatif. Cet exercice permet au professeur d’évaluer la capacité d’argumentation et d’analyse de l’étudiant. Tout au long du secondaire, c’est l’exercice phare sur lequel j’ai été évalué, notamment lors de mes deux épreuves du bac. C’est pourquoi aujourd’hui pour mon premier cours, je décide de revoir rapidement les bases de cet exercice avant d’entamer les cours de SES ou d’HGGSP (par exemple) qui permettront d’appliquer cette méthode. INTRODUCTION ( la chose la plus importante selon moi puisque c’est la première idée que le lecteur aura de l’ensemble du devoir ) • Pour commencer il est important d’introduire notre devoir avec une accroche en lien avec notre devoir afin de donner envie au lecteur de nous lire. On peut utiliser une citation, un fait d’actualité, des données ( comme une étude de sondage ) ou une pensée de doctrine d’un auteur par exemple. • ensuite on rattache notre accroche à notre sujet ( une phrase rapide ) • on définit les termes important du sujet (on part du principe que le lecteur ne sait rien) • puis nous exposons l’intérêt du sujet (pourquoi il est important de parler de ce sujet, quel intérêt apporte-t-il) • pour finir, nous allons évoquer la problématique donnée dans le sujet ou alors que nous allons reformuler • enfin, nous présenterons juste notre plan de manière synthétique ( de façon à prévenir le lecteur de l’articulation de notre devoir ) Voici pour l’introduction, je vais maintenant passer au développement du devoir, c’est-à-dire le cœur du devoir. Mais avant ça, avez vous des questions ?? DÉVELOPPEMENT : On peut décider de faire un plan binaire ou trinitaire avec deux ou trois parties. En fait, il faut exposer une grande idée, et par la suite dans les sous parties, les diviser de manière à les développer chacune. Par exemple avec le plan binaire : I. GRAND THÈME À ( première idée) B ( deuxième idée) C ( troisième idée) II. Même chose pour le grand deux À B C CONCLUSION : Répondre à la problématique de manière synthétique, de manière à faire une conclusion de chacun de nos paragraphes en une ou deux phrases. Parfois, même certains professeurs, nous demandent de faire des ouvertures, c’est-à-dire d’aller plus loin que le sujet en émettant un élément de réflexion, ou alors une autre problématique qu’il a plus loin que le sujet initial. Cependant l’ouverture n’est pas toujours demandée, au contraire, elle reste très souvent facultative. Merci merci de m’avoir écouté depuis le début. Je reste à votre disposition pour d’éventuelles questions et on se retrouve la semaine prochaine pour un nouveau cours où je vais appliquer la méthode avec un sujet assez simple de manière à ceux que tout soit clair.
Méthodologie
Professeur fiable: Étudiant(e) dans le supérieur, tu te sens dépassé par la quantité de matière à maîtriser ? Tu as tendance à procrastiner pendant le blocus, tu as du mal à t'organiser et à étudier efficacement ? Le métier d’étudiant requiert des compétences spécifiques. Il n’est jamais trop tard pour les acquérir ! Professionnelle de l'enseignement, je propose du coaching scolaire et des cours de méthodologie pour aider les étudiants à surmonter ces défis et atteindre leurs objectifs. *Le coaching scolaire, c’est quoi exactement ?* Le coaching scolaire est un accompagnement personnalisé visant à aider les étudiants à atteindre leurs objectifs scolaires/académiques et à maximiser leur potentiel. Contrairement au tutorat traditionnel axé sur la transmission de connaissances, le coaching scolaire se concentre sur le développement des compétences, des stratégies et des habitudes d'apprentissage. Les coachs scolaires travaillent en étroite collaboration avec les étudiants pour identifier leurs forces, leurs faiblesses et leurs objectifs, puis les guident dans la mise en place de plans d’action concrets pour surmonter les obstacles et améliorer leurs performances scolaires/académiques. Le coaching scolaire peut couvrir de nombreux domaines, dont la gestion du temps, la méthodologie, la motivation, la gestion du stress et la confiance en soi. *Mon approche :* Le coaching scolaire est une activité en plein essor. Il n’existe, pour le moment, aucun diplôme reconnu par l’Etat belge. Dès lors, les pratiques diffèrent énormément et on lit parfois qu’il existe autant de méthodes de coaching que de coachs. L’approche que je propose est fondée sur mon expérience d’enseignante. Il s’agit d’une combinaison de différents ingrédients : beaucoup d’écoute, de la méthodologie et une pincée de développement personnel. Le progrès des compétences métacognitives (la capacité à prendre du recul et à s’interroger sur son mode de fonctionnement) est l’une de mes priorités. Les recherches en psychopédagogie montrent en effet que la métacognition est l’une des clés de la réussite scolaire/académique. En tant que coach scolaire, je m’engage à mettre à disposition du coaché tous les moyens que j’ai à ma disposition pour qu’il puisse progresser. Néanmoins, je ne peux donner aucune garantie quant aux résultats scolaires/académiques car, même si le coaching est un moteur de changements, c’est au jeune lui-même de mettre à profit le travail réalisé durant les séances. Une séance de coaching ne peut porter ses fruits que si le jeune est partie prenante du processus *Attention* Un coach n’est ni un psychologue, ni un logopède, ni un professeur particulier, ni un mentor. Le coach est plutôt un partenaire ou un accompagnateur. Il a pour rôle d’écouter le jeune, de l’aider à prendre conscience de ses forces et de ses faiblesses pour qu’il puisse ainsi gagner en autonomie.
Méthodologie · Coaching de vie (life coaching)
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